Artistes, entrepreneurs, citoyennes et citoyens engagés, partenaires d’organisations montréalaises : toutes et tous partagent la même conviction qu’un Montréal plus humain, plus vert et plus solidaire est possible.
Leur appui à Luc témoigne de leur engagement à faire avancer notre ville, à la rendre plus juste, plus belle et plus vivante, quartier par quartier.
Nous sommes fiers de pouvoir compter sur leur confiance et leur appui pour continuer à faire grandir Montréal ensemble.
Les bâtisseuses : Phyllis Lambert, Nancy Neamtan et Marguerite Mendell
Je suis honoré de recevoir l’appui de trois grandes Montréalaises qui ont marqué notre ville : Phyllis Lambert, Nancy Neamtan et Margie Mendell, toutes récipiendaires de l’Ordre du Canada, de l’Ordre national du Québec et de l’Ordre de Montréal.
Phyllis Lambert, fondatrice du Centre Canadien d’Architecture (CCA), est une figure incontournable de l’architecture et du patrimoine montréalais. Sa vision d’un développement urbain respectueux de l’identité de nos quartiers rejoint profondément la mienne.
Nancy Neamtan, fondatrice du Chantier de l’économie sociale, et Marguerite Mendell, professeure émérite à Concordia, sont deux pionnières qui ont façonné l’économie sociale au Québec. Leur engagement pour une économie au service des communautés m’inspire depuis toujours
Rassembler les acteurs clés de la collectivité montréalaise autour d’une vision commune est, selon moi, essentiel pour bâtir une ville plus verte, plus juste et inclusive. Leur confiance me touche profondément et renforce ma conviction : en équipe, nous pouvons transformer Montréal.



Yves-Marie Lefèbvre
Projet Montréal est fier de pouvoir compter sur l’appui d’Yves-Marie Lefebvre.
En septembre 2023, Yves-Marie Lefebvre avait exploré les rues de la ville aux côtés de Luc Rabouin, permettant de mieux comprendre les subtilités des feux sonores et les enjeux d’aménagement pour les personnes en situation de handicap. Ce fut l’occasion de constater le chemin parcouru depuis, tout en reconnaissant qu’il reste encore beaucoup à faire pour que Montréal devienne une ville pleinement accessible à toutes et à tous.
Grâce à un plan d’action ambitieux en matière d’accessibilité universelle et de lutte au capacitisme, la Ville s’engage à améliorer concrètement la vie des Montréalaises et des Montréalais. Récemment, une mesure importante a été annoncée : toutes les personnes détentrices d’une vignette SAAQ peuvent désormais se stationner sans limite dans les zones réservées aux résident·es (SRRR), partout sur l’île. Des stationnements réservés et des débarcadères seront aussi implantés à proximité des pôles de destination – centres culturels, stations de métro, établissements de santé et artères commerciales – avec une signalisation distinctive uniformisée à l’échelle de la ville.
Ces avancées facilitent la mobilité, réduisent les obstacles aux soins, à l’emploi et à la vie culturelle, et renforcent l’inclusion.
Merci à Yves-Marie Lefebvre pour son appui et son engagement à faire de Montréal une ville plus inclusive, accessible et juste pour toutes et tous.
Pascal Nataf
« J'ai connu Luc Rabouin il y a douze ans, alors que qu'on faisait nos débuts dans le jeu vidéo. On a croisé peu de personnes avec autant de flair et de conviction que lui. Quand d’autres doutaient, lui voyait le potentiel. Grâce à son appui, Le Responsable, un jeu éducatif sur la finance responsable, a pu voir le jour et donner le coup d’envoi à notre studio de jeu vidéo Affordance Studio. Quelques années plus tard, c’est encore lui qui a cru en La Guilde, nous aidant à obtenir le financement nécessaire pour devenir le plus grand regroupement de développeurs de jeux vidéo.
En tant que maire du Plateau et membre du comité exécutif, il a de nouveau soutenu l’Indie Asylum, permettant de déployer 18 studios et de rassembler plus de 200 créatrices et créateurs qui font briller Montréal à travers le monde.Luc comprend ce que c’est d’entreprendre, de créer, de bâtir du neuf. Il agit, il écoute, il fait confiance. C’est un allié vrai, un partenaire de terrain, et surtout un maire qui croit au talent d’ici sans détour, et comme il le dit lui-même : « sans bullshit ».



Richard Ryan
« J'ai bien des défauts mais j’ai un pas pire radar pour la « bullshit » en politique… et j’en ai entendu pas mal ces derniers jours. À l’approche des élections municipales du 2 novembre et au vote par anticipation de ce dimanche, je donne mon appui à Luc Rabouin et l’équipe de Projet Montréal. Ailleurs au Québec j’encourage les gens à examiner les propositions en logement abordable, le vrai, celui qui peut contribuer à augmenter le nombre d’unités à l’abri de la spéculation immobilière (sans but lucratif).
C’est là, la pièce maîtresse pour une solution durable à la crise. En la matière, les propositions de Luc Rabouin sont claires, précises, audacieuses et réalistes! L’administration de Projet Montréal investit déjà beaucoup en contrôle du foncier pour le développement du logement social et abordable, en mettant 56 fois plus d’argent (567 millions sur 10 ans) que le faisait l’administration de Denis Coderre 2013-17 (Ensemble Montréal). Soit à l’époque, un maigre million par année pour l'acquisition de terrains destinés à du logement social. L’instabilité des programmes de subvention à la construction venant de Québec, a amené Luc Rabouin a faire des propositions encore plus audacieuses pour le mandat à venir, soit 100M$ en garantie des promoteurs communautaires pour leurs prêts hypothécaires (sommes pouvant allé chercher 1 milliard en investissement), puis l’émission d’obligations municipales afin de soutenir ce développement avec objectif d’atteindre une cagnotte de 500M$.
C’est du jamais vu comme audace au niveau municipal et cela ne coûterait rien à la Ville! Il faut juste avoir de l’audace, de la créativité et une compréhension fine des enjeux. Et ça, Luc Rabouin l’a bien. Il a déjà joué un très grand rôle cette année dans l’acquisition par la Ville d’un parc immobilier à Côte des Neiges de 700 logements (du jamais vu pour la ville). Ces logements qui ont évité une acquisition par un promoteur privé, étaient voués à de la rénoviction. Des ménages entiers se seraient retrouvés à la rue. C’est ce type d’action qu’il nous faut. Son intérêt à utiliser davantage le droit de préemption pour sortir du marché privé des immeubles, fait de lui une personne clé à la tête de la ville pour résoudre la crise du logement.
Luc Rabouin n’est pas un politicien de carrière, il déteste également la « bullshit » que certains et certaines peuvent avoir. Issu de milieux progressistes dans sa vie professionnelle antérieure, il a une vision audacieuse des solutions sur la crise climatique et celle du logement. Ces années à des postes de direction à la Caisse d’économie solidaire Desjardins, à Communauto-France, à PME Montréal et au Centre d’écologie urbaine de Montréal, l’ont bien préparé à prendre les fonctions de maire de l’arrondissement du Plateau Mont-Royal et d'occuper les hautes fonctions au comité exécutif de la ville dont celle de président.
J’ai une très grande confiance que s'il est élu maire de Montréal, il livrera la marchandise. »
Sylvain Carle
« Ceux et celles qui me connaissent savent que je suis un gars engagé et qui a les « valeurs à la bonne place », comme on dit...
Bien que je sois un porte-étendard des startups, du capital de risque et du développement économique, vous savez aussi que j’ai à cœur la santé de notre planète et de notre société. Que c’est une question d’équilibre, à trouver et à maintenir. Vous savez que je m’engage dans les causes qui sont concrètes, que je suis un « socialiste pragmatique », comme j’aime bien le dire.
Je suis aussi un fier Montréalais, et j’ai souvent été un ambassadeur (officieusement) de notre ville à l’international, de San Francisco à Paris. Une ville où il fait bon vivre, travailler, festoyer et se développer, c’est ça, Montréal. Là où la joie de vivre est une vertu première.
Une ville à dimension humaine, où l’on prend soin des gens, des quartiers, des piétons, des cyclistes, des familles, de toutes et de tous. Où l’ambition de faire mieux est toujours présente, et où l’énergie positive est renouvelable et contagieuse. Où l’accueil des gens de partout sur la planète, qui viennent nous rejoindre ici, fait partie de ce qui a dessiné la courte pointe de nos quartiers depuis plus d’un siècle.
Et c’est pour ça que je n’hésite pas à dire en public que je soutiens Luc Rabouin et l’équipe de Projet Montréal à la mairie de Montréal. Luc est un des rares politiciens de la ville à être venu nous rendre visite à la Maison Notman pour comprendre ce qui s’y passait. Il a bien saisi ce potentiel, pas encore tout à fait complètement développé, de notre écosystème de startups.
J’ai pu constater la profondeur de son engagement et de son expérience. C’est un progressiste avec un solide bilan de réalisations. C’est de ça qu’on a besoin maintenant et pour le futur de notre ville.
C’est en élisant des leaders qui savent concrétiser la vision à long terme, le travail de terrain, et qui ont une écoute et une posture d’ouverture que nous allons progresser. Le seul remède au désengagement, au désarroi et au désespoir que nous apporte parfois la politique dans les médias, sur les réseaux sociaux (et dans la vraie vie) , c’est l’action ! »
Alain Vaillancourt
« Vous l’avez peut-être remarqué : cette élection, mon visage n’est pas sur les pancartes. C’est le moment pour moi de profiter de ma famille et de prendre du temps pour moi après 12 ans où j’ai eu l'honneur de vous représenter.
Mais je pars l’esprit tranquille, car notre arrondissement est entre de bonnes mains ! 🌟 Les candidat·e·s de Projet Montréal dans le Sud-Ouest sont dynamiques, compétent·e·s et profondément engagé·e·s à améliorer notre quotidien.
Pour la mairie de Montréal, je soutiens Luc Rabouin, un leader solide qui a toujours à cœur le bien de notre ville.
Pour le Sud-Ouest, Véronique Fournier, Élise Tanguay, Nicolas Jolicoeur – Vie de quartier, Catherine Houbart et Jonathan Burnham sont les bonnes personnes pour continuer à faire évoluer nos quartiers : des rues plus accueillantes et vertes, des logements abordables et des espaces où il fait bon vivre.
Élise Tanguay, qui a développé des projets novateurs de logements étudiants à but non lucratif chez UTILE, prend le relais de mon poste, et j’espère qu’elle sera élue.
Alors ce week-end, faites entendre votre voix ! Votez par anticipation le 26 octobre ou le 2 novembre pour Luc Rabouin, Véronique Fournier, Élise Tanguay et Nicolas Jolicoeur dans le district de Saint-Paul–Émard–Saint-Henri-Ouest.
Avec Projet Montréal, continuons à construire un Sud-Ouest fier, vert et vivant ! 💪✨ »
Gilles Beauchamp
« J’ai connu Luc Rabouin alors qu’il était organisateur communautaire en CLSC et revenait du premier Forum social mondial qui s’était tenu au Brésil. Au moment de son élection au poste de maire de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal, en 2019, La Presse écrivait :
« L’homme de 51 ans est directeur du développement stratégique à la Caisse d’économie solidaire Desjardins depuis trois ans et il a passé les dernières années de sa carrière à se spécialiser en développement économique local, notamment au sein du Centre d’écologie urbaine de Montréal, de Communauto France et de la Corporation de développement économique communautaire (CDEC). »
Je ne savais pas qu’il avait été responsable du développement stratégique à la Caisse d’économie solidaire Desjardins. Je l’avais vu à l’œuvre pour promouvoir les budgets participatifs (une idée ramenée du Brésil) en tant que directeur du Centre d’écologie urbaine.
Au final, j’ai l’impression que Ferrada nous propose de revenir à l’ère Coderre-Tremblay, où les promoteurs seront les premiers architectes du développement de Montréal, au profit du capital plutôt que des gens.
Rabouin n’est pas une « rock-star », comme il le confiait récemment à La Presse, mais je pense qu’il peut s’appuyer sur un parti qui a des antennes et des racines dans les quartiers montréalais. Son expérience à la Caisse solidaire me fait dire que son idée d’un Fonds pour le logement pourrait marcher…
Ce ne sont pas les pistes cyclables qui sont l’enjeu de la prochaine élection montréalaise, mais bien le développement de l’Est, la construction de logements pour les gens, l’accès au fleuve et la préservation des quelques espaces verts qui nous restent.
Une ville de savoirs, de culture et d’industries, qui sache mobiliser ses ressources et ses gens et non seulement des capitaux au profit des capitaux. Oui, nous avons besoin de capital, comme des pouvoirs et des investissements provinciaux et fédéraux, mais nous avons besoin d’un parti avec des racines et des antennes pour orienter ces investissements. »
Anais Barbeau-Lavalette

Gabriel Nadeau-Dubois
« Chers Montréalais et Montréalaises qui ne savez toujours pas pour qui voter le 2 novembre, je vous comprends un peu.
La campagne électorale municipale ne soulève pas les passions. J’ai l’impression d’entendre plus parler de politique américaine que de l’avenir de notre ville. C’est peut-être pour cela que vous êtes toujours aussi nombreux et nombreuses à ne pas avoir fait votre choix. Je vous écris aujourd’hui pour vous faire part de mes réflexions, celles d’un papa de 35 ans qui élève sa famille à Montréal.
J’ai décidé de voter pour Luc Rabouin et Projet Montréal.
On va s’entendre sur une chose : l’administration de Projet Montréal n’a pas été parfaite. Comme certains d’entre vous, je l’ai parfois trouvée trop timide, parfois tout simplement maladroite. On ne gouverne pas une ville pendant une décennie sans faire d’erreurs.
Luc Rabouin l’a bien compris, comme en témoignent sa promesse de revoir le « règlement 20-20-20 » sur le logement, son engagement de reporter la transformation de la voie Camillien-Houde pour se concentrer sur la crise de l’itinérance et sa proposition de réduire de moitié les délais pour accorder des permis de construction de logements.
Luc Rabouin n’est pas une rockstar. Ça tombe bien, Montréal n’a pas besoin d’un leader qui fait les manchettes à tout bout de champ – nous avons déjà eu Denis Coderre.
Montréal a besoin d’une personne compétente, qui a les bonnes priorités (le logement, l’itinérance, le transport) et qui compte sur une équipe capable de livrer la marchandise. Ça veut dire freiner l’explosion des loyers, construire des logements, réduire l’itinérance, sécuriser nos quartiers, améliorer le transport.
Il y a sans doute des personnes bien intentionnées dans l’équipe d’Ensemble Montréal, mais la prétention de ce parti d’incarner le changement ne tient pas la route : son noyau demeure constitué de vieux routiers issus des administrations de Denis Coderre et de Gérald Tremblay.
Ce n’étaient pas les pistes cyclables et les parcs éponges qui faisaient la manchette, c’était la corruption et la Formule électrique. Vous ennuyez-vous de cette époque ? Pas moi.
Les propositions d’Ensemble Montréal me rappellent les promesses caquistes : brouillonnes, voire opportunistes.
Le meilleur exemple est sans aucun doute la promesse saugrenue de procéder à un audit de toutes les pistes cyclables, ce qui pourrait mener au démantèlement de certaines d’entre elles.
Combien de millions de dollars seraient engouffrés par un tel processus bureaucratique ? Combien de nouveaux chantiers (et de nouveaux cônes orange !) ajoutera-t-on en ville pour… retirer des voies cyclables ? Ce n’est pas sérieux.
Ces temps-ci, j’ai l’impression qu’on recule au lieu d’avancer. À Québec et à Ottawa, la crise du logement, la lutte contre l’itinérance et l’amélioration des transports en commun ont complètement disparu des priorités.
Dans ce contexte déprimant, l’élection du 2 novembre est une occasion pour les Montréalais et les Montréalaises de se redonner un peu d’espoir.
Dans deux ans, ma plus vieille fera son entrée à l’école du quartier. Je veux pouvoir m’y rendre avec elle à pied, en sécurité. Je n’ai pas envie de m’inquiéter en voyant partir ma blonde aller au travail à vélo, avec notre plus jeune dans le siège arrière.
Je veux qu’on puisse prendre les transports en commun en famille et que la circulation soit fluide quand on décidera de prendre l’auto. Surtout, je veux élever ma famille dans une ville abordable, où tout le monde peut se loger à un prix raisonnable.
Parce que je veux tout ça, le 2 novembre, j’irai voter pour Luc Rabouin. »
Nima Machouf
« Je veux m'assurer que Craig Sauvé continue à siéger au conseil de ville de Montréal et qu'une option plus à gauche et plus assumée de la politique municipale se développe, mais je ne veux surtout pas que les progrès réalisés pendant les 8 ans de Projet Montréal s'estompent, je ne veux surtout pas que Montréal recule en matière de logement, d'inclusion, de transport actif et du bien vivre ensemble en ville.
Pour la mairie de Montréal, le 2 novembre je voterai donc Luc Rabouin et je vous invite à faire pareille maintenant qu'il a signé le pacte de Montréal anti-apartheid. Si on voulait quelqu'un comme Soraya Martinez à la tête de la ville, on n'aurait pas renvoyé Denis Coderre, on serait resté avec lui, ses idées, ses méthodes. Je vais aider des candidat.e.s de Transition Montréal localement et je ferai du porte à porte pour Samah Khandker brillante candidate et colistière de Craig Sauvé dans le Sud-Ouest. »
Franck Hénot

Christian Savard
« Ceci est un avis personnel, ne reflète pas l'avis de Vivre en Ville qui pour sa part demeure profondément non-partisan. Disons qu'avec mon départ prochain, j'ai envie de libérer un peu ma parole, et aujourd'hui, je vais vous parler de Luc Rabouin.
Je connais Luc Rabouin depuis 2011. À l'époque, il était en plein dans l'organisation du Sommet international Écocité sur l’aménagement et la gouvernance urbaine, un coup fumant que l'organisation qu'il dirigeait, le Centre d'écologie urbaine de Montréal, avait réussi.
Moi, j'étais en train de déménager à mi-temps à Montréal pour développer les activités de Vivre en Ville. Luc aurait pu se montrer méfiant, nous voir comme de la concurrence et tenter de nous repousser. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Au contraire, il nous a ouvert les portes du Sommet et nous avons débuté des collaborations. Il avait compris que le mouvement allait être plus fort en tissant des liens. Une ouverture qui marque son parcours depuis et qui me touche et me convainc sur les qualités intrinsèques d'une personne.
Ainsi, récemment, il a su montrer qu'il était capable de prendre des orientations courageuses et pragmatiques. Je pense notamment au dossier de l'Institut des sourdes-muettes, où il a accepté un projet de densification audacieux pour enfin faire avancer le dossier et offrir de nouvelles unités d'habitation, dans un Plateau Mont-Royal devenu trop attractif. La facilité aurait été de ne rien faire, ce qui n'aurait choqué personne, mais qui n'aurait pas amélioré la situation. Luc a plutôt décidé d’agir, parce qu’il prend la crise de l’habitation au sérieux.
Je pense aussi au dossier Camilien-Houde, où il a su écouter le terrain et proposer une version améliorée du projet, plus sensible à l'Est et à l'accessibilité.
C'est cette ouverture et cette écoute qui font que de mon point vue personnel, Luc ferait un excellent Maire pour Montréal à ce moment de son histoire.
Cela étant dit, je trouve des vertus à la candidature de Soraya Martinez Ferrada, qui a à la fois une riche expérience politique et qui a su recruter des gens de talent, ou à celle de Craig Sauvé, qui brasse avec des propositions novatrices; mais au final, je pense que ce dont Montréal a le plus besoin, c’est d'un geek de politique publique comme Luc: un pragmatique intelligent, travailleur et à l’écoute, avec du leadership. Même s’il est un peu beige! »
Christian Savard, citoyen
PS: Personne ne m’a demandé d’écrire ce message.
Phyllis Lambert

« Why I support Luc Rabouin for mayor of Montreal
What makes Montreal so remarkable are its distinct neighbourhoods, its deep sense of community and its civic engagement. Luc Rabouin understands that the development of a city must happen organically—by respecting the identity of its neighbourhoods and empowering citizen participation. His record as mayor of Plateau-Mont-Royal demonstrates his ability to transform urban spaces into dynamic, ecological living environments, to increase access to housing while rehabilitating heritage buildings, and to adopt innovative solutions for active transportation. It also reflects a form of leadership grounded in a nuanced understanding of community and economic issues.
At the head of Projet Montréal, Luc Rabouin is advancing the only municipal platform truly equal to the challenges our city faces: taking swift action to address the housing and homelessness crises, improving and expanding access to public transit, and protecting and celebrating our built and natural heritage.
Ensemble Montréal, under the leadership of Soraya Martinez Ferrada, continues a pattern of urban development centred on large private developers, deregulation of Airbnb —which undermines affordable housing—and regressive approaches to mobility and environmental issues. Her proposal to conduct an audit of the city’s cycling network seems to me bureaucratic and not a solution. Think of the disastrous experiences with mayors coming from federal politics who failed to grasp local realities.
It is essential to choose a mayor who looks to the future, not the past. Therefore, I wholeheartedly endorse Luc Rabouin for mayor of Montreal. »
Phyllis Lambert
Photo: Laurence Gascon
Maïka Sondarjee
« J’ai rencontré Cathy Wong dans une soirée d’anniversaire chez une amie commune. J’étais tellement impressionnée par son parcours que je n’ai pas osé aller lui parler. Ne comprenant même pas que les gens puissent être intimidés par elle, elle m’a attrapé dans un coin pour me parler d’art, de communauté, d’amour, de luttes pour l’égalité. Après plusieurs années d'amitié, Cathy m’impressionne toujours: sa capacité de créer une communauté, de rassembler des gens qui ne pensent pas comme elle, de travailler avec tout le monde. C’est impossible de rester indifférente à l’énergie de Cathy. C’est un centre de gravité pour tous ceux et celles qui souhaitent un monde un peu meilleur.
Dans un sens, j’aurais aimé qu’elle continue de faire de l’art, de boire des cafés avec moi sur le Plateau et d’organiser des chalets pour nos enfants. Mais le sens du devoir a pris le dessus. Et je suis vraiment contente pour les gens du Plateau (mon chez-moi à temps partiel!)!Pour l'appui à son parti: Projet Montréal est encore le parti qui me représente le plus, notamment pour les limites sur les Airbnb, les espaces verts, le logement, le transport actif. Ce n’est pas un parti parfait, mais l’alternative est bien pire. Par ailleurs: si vous habitez Joliette, votez pour quelqu’un qui vous représente, si vous habitez St-Georges de Beauce, votez pour quelqu’un qui vous représente. Si vous habitez le Plateau… votez pour Cathy.
Tu as tout mon support, chère amie. Bonne course! Que la meilleure l’emporte. »
Léa Clermont-Dion
« 2005. J’avais 14 ans et une envie brûlante de « changer le monde ». La vie m’a menée au colloque des Jeunes Leaders du Club 2/3, où, pour la première fois, j’ai rencontré des centaines de jeunes animé·es par le même désir d’engagement. Parmi la foule, une jeune femme se démarquait : pétillante, éloquente, charismatique. Elle avait 21 ans et s’appelait Cathy Wong.
Lors d’un atelier, elle a pris la parole avec une force et une clarté qui m’ont bouleversée. Elle parlait de féminisme, d’égalité, de justice. Le contact a été immédiat — un véritable coup de cœur intellectuel et humain. Cathy est rapidement devenue une grande sœur pour moi, me guidant avec bienveillance et conviction. C’est elle qui m’a ouvert les yeux sur les inégalités raciales et sexistes que je ne pouvais encore concevoir à cet âge. C’est elle qui m’a initié au mouvement féministe.
Ensemble, il y a vingt ans, aux lendemains du Colloque Jeunes leaders, nous avons décidé de passer de la parole à l’action. Nous avons organisé un grand événement pour la journée internationale des droits des femmes, rassemblant les figures marquantes du féminisme québécois. Le colloque, intitulé Égalité acquise? tenu à l’UQAM le 7 mars 2005, fut un succès : salle comble, 400 personnes, et Françoise David parmi les panélistes. Ce soir-là, Cathy et moi avons vécu un grand moment de dialogue, de mobilisation et d’échanges extraordinaires. Le genre de moment qui marque à vie.
Les années ont passé, mais Cathy n’a jamais perdu cette flamme. Elle poursuit son chemin avec la même intelligence, la même générosité et la même force qu’il y a vingt ans. Toujours solidaire, toujours prête à se tenir debout pour la justice sociale.
Aujourd’hui, je souhaite l’appuyer dans sa candidature à la mairie du Plateau-Mont-Royal. Je crois profondément en ses capacités de leadership, en sa rigueur et en ses convictions féministes et humanistes. Cathy écoute, rassemble et agit, exactement les qualités dont Montréal a besoin. »