Laurence Lavigne Lalonde

Laurence Lavigne Lalonde a toujours souhaité contribuer à l’amélioration de la société et aider les plus vulnérables. Elle a travaillé comme intervenante en santé mentale avant de partir à l’étranger comme gestionnaire de projets pour différentes ONG internationales. C’est d’ailleurs pendant un mandat pour Oxfam-Québec au Pérou qu’elle constate les impacts réels qu’un gouvernement de proximité peut avoir sur les communautés; Laurence décide de rentrer à Montréal pour se présenter à l’élection municipale de 2013. Élue conseillère de ville du district de Maisonneuve-Longue-Pointe, dans Mercier-Hochelaga—Maisonneuve, Laurence siège d’abord dans l’opposition, où elle est nommée à la Commission sur les finances et l’administration, tout en accompagnant les citoyen·ne·s dans leur démarches auprès de l'arrondissement.

Laurence tient à ce que les citoyen·ne·s aient voix au chapitre sur le plus grand nombre d’enjeux possibles. Qu’elle soit en accord ou pas avec leurs positions, elle se fait un devoir d’informer la population sur les démarches à entreprendre pour aller au bout de leurs projets, ainsi que d’expliquer les limites du pouvoir des élu·e·s de la Ville. C’est pourquoi la forte mobilisation des résident·e·s en vue de la revitalisation du secteur Assomption-Sud--Longue-Pointe l’impressionne : elle se sent choyée de représenter des citoyen·ne·s aussi engagés.

En 2017, la venue de Projet Montréal au pouvoir, tant à l’arrondissement qu’à l’hôtel de ville, instaure un climat de collégialité dans lequel Laurence se sent bien. Les projets évoluent rondement quand on valorise le travail et l’expertise des employé·e·s municipaux et des organismes partenaires. Celle qui se plaît davantage dans le travail à fond de ses dossiers que sous le feu des projecteurs reconnaît que bâtir la ville de demain exige l’expertise de chacun·e. Nommée au comité exécutif, Laurence pilote la transition écologique, l’agriculture urbaine et le complexe muséal d’Espace pour la vie. Pas étonnant quand on sait qu’elle a occupé son premier emploi au restaurant du Biodôme pour ensuite travailler quelques années au Jardin botanique et à l'Insectarium, des institutions de la vie montréalaises qu’elle qualifie d’extraordinaires et de nécessaires.

Laurence est très fière d’avoir mené, avec plusieurs partenaires, le tout premier Plan climat 2020-2030 de la Ville de Montréal. Ce plan vise la carboneutralité d’ici 2050. Des projets ont aussi vu le jour pendant la pandémie, grâce au Jardin botanique et à ses équipes, pour se rapprocher de l’autonomie alimentaire de Montréal en période de crise. Tous ces gestes qu’on doit poser pour avoir une ville plus résiliente à long terme, Laurence y participe activement en ayant toujours en tête l’amélioration des milieux de vie des Montréalais·e·s.

Encore aujourd'hui, elle continue de mettre le bien-être des citoyen·ne·s au premier plan.