Francois Limoges

François Limoges a toujours été un agent de transformation dans les milieux où il s’est impliqué. Passionné par les enjeux municipaux, il a d’abord milité au Rassemblement des Citoyens de Montréal (RCM), de 1997 à 2000, Diplômé en science politique, François devient membre du conseil de direction de Projet Montréal en 2006, et se retrouve rapidement responsable des communications du parti. La constante de la carrière de François, c’est son engagement citoyen.

Ayant grandi au cœur de Rosemont–La Petite-Patrie, c’est là qu’il est élu conseiller de ville, en 2009, dans le district de Saint-Édouard. La Petite-Patrie est définitivement un des quartiers les plus mobilisés à Montréal : François devient très vite un élu présent sur le terrain, prêt à dialoguer avec ses concitoyen·ne·s sur des projets, des idées pour le quartier et à réfléchir sur des façons d’accroître la participation citoyenne.

Au lendemain de la course à la chefferie de Projet Montréal, en 2016, Valérie Plante nomme François leader de l’opposition. Parmi ses forces, François reconnaît sa capacité à convaincre, qui va de pair avec son écoute et sa volonté d’échanger avec des gens aussi passionnés que lui, qui poussent sa réflexion plus loin. Toujours intéressé par les questions de participation citoyenne et de transparence démocratique, il adore impliquer les citoyen·ne·s dans les décisions. L’aspect pédagogique d’une telle démarche n’est pas à négliger, selon lui : si on explique bien un projet, on peut persuader la population d’y adhérer et même, d’aller encore plus loin.

L’aménagement du territoire est, de loin, le dossier qui passionne le plus François. Il veut relever le défi d’embellir Montréal et ses quartiers, de faire de la ville un lieu agréable où l’on peut vivre et s’épanouir. François veut faire de Montréal la plus belle ville du monde : selon lui, on ne rêve jamais trop grand, mais trop souvent trop petit. L’important pour lui, c’est de construire la ville intelligemment et avec la population. François croit plus que jamais que l’urbanisme peut être un moteur de développement durable pour Montréal. Il est fier de contribuer à bâtir une ville plus verte et plus conviviale.