La mairesse de Montréal et cheffe de Projet Montréal, Valérie Plante, a présenté une série de mesures pour faire des véhicules en libre-service une alternative plus économique, accessible, et simple pour les usagers de l’auto solo et les familles montréalaises.
Grâce à des incitatifs financiers concrets, Projet Montréal veut favoriser le déploiement des véhicules en libre-service dans tous les arrondissements de Montréal, en visant une augmentation du nombre de VLS à Montréal de 50% en 4 ans.
Dans son prochain mandat, Projet Montréal s’engage à :
Diminuer substantiellement les coûts de permis réservés aux voitures en autopartage d’ici 2023;
Le permis pour un VLS électrique passera de 300$ à 1$.
Le permis pour un VLS hybride passera de 835$ à 225$.
Le permis pour un VLS à essence passera de 835$ à 600$.
Lancer une campagne de promotion auprès des employeurs pour augmenter le nombre de stationnements dédiés à l’autopartage dans les milieux de travail, offrir des tarifs préférentiels pour les groupes et augmenter le nombre d’abonnés
Prévoir davantage d'espaces pour les stations de voitures en autopartage dans les stationnements municipaux et sur rue;
Citations
« En diminuant considérablement le prix des vignettes de stationnement, on favorise le déploiement des voitures en libre-service dans tous les arrondissements, notamment les secteurs de Lachine, Lasalle et l’Île-des-Soeurs qui ne sont pas desservis actuellement. Chaque véhicule en libre-service permet de retirer 5 à 11 véhicules de la route, c’est donc une option de mobilité essentielle à la diminution du trafic et des gaz à effet de serre . Les incitatifs et les assouplissements que nous mettrons en place favoriseront le choix de l’autopartage auprès d’un plus grand nombre de familles, d’employés, et d’étudiants, au bénéfice des Montréalais et des générations futures. » A déclaré Valérie Plante, la mairesse de Montréal et cheffe de Projet Montréal.
« Au cours de notre premier mandat, Projet Montréal a posé des gestes forts pour que l’autopartage devienne une véritable alternative à l’auto-solo. Notre équipe a notamment diminué de moitié le coût des permis et autorisé les permis de stationnement pour les VLS dans tous les arrondissements. Alors que l’administration précédente avait interdit les VLS dans le centre-ville, nous avons ouvert de nouvelles zones dans Ville-Marie, tout en permettant leur stationnement devant les parcomètres. Ces nouvelles habitudes ont été adoptées par des milliers de Montréalais-es et nous irons encore plus loin au cours de notre deuxième mandat pour améliorer constamment la mobilité des Montréalaises et des Montréalais. » a ajouté Eric Alan Caldwell, aspirant conseiller de Ville dans le district Hochelaga.